L’autoconsommation, c’est un peu comme le milieu BIO. Effectivement, les deux essaient de raccourcir le circuit au maximum afin de limiter les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs. C’est ce que l’on appelle un circuit court. En d’autres termes, nous parlons de limiter les intermédiaires entre le producteur et le consommateur. Ce terme est de plus en plus utilisé dans l’agriculture, mais il est tout aussi pertinent en parlant de l’énergie.

Cette relation de proximité comporte de nombreux avantages. Toutefois, ce que l’autoconsommation et l’agriculture ont en commun, c’est la diminution des émissions de gaz à effet de serre et la certitude de la provenance des produits ou de l’énergie consommée.

Pour la chaine alimentaire, les consommateurs demandent de plus en plus de produits éthiques et locaux. Idem pour l’électricité. Il existe de nombreux fournisseurs d’électricité verte mais les consommateurs veulent savoir d’où elle provient et si elle est réellement verte. De ce fait, le seul moyen d’être véritablement sûr de connaitre la nature et l’origine de l’électricité consommée, c’est de la produire soi-même.

C’est notamment le cas de Relais Vert qui a fait confiance à ValEnergies afin d’apporter de la cohérence à son entreprise. Effectivement, chez Relais Vert, ce sont les petits producteurs qui sont favorisés.

Ainsi, autoconsommer son énergie rentre dans le cadre du circuit court. En produisant et consommant votre propre électricité, vous prenez le contrôle de votre avenir énergétique. L’autoconsommation revient à exploiter sa toiture ou les espaces non utilisés de son bâtiment afin d’y installer des panneaux solaires. Ensuite, l’énergie produite est directement consommée au sein du bâtiment, en autoconsommation.

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Photo : Pexels – auteur : Vanessa Loring

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