Ces 4 bâtiments de bureaux préfigurent de ce que seront les bâtiments du futur : ils produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment. La transition énergétique ne se décrète pas, elle se fait. Et aujourd’hui, quand on construit des bureaux, il est possible d’associer écologie et économies. Explications en 3 étapes et du rôle joué par ValEnergies :
1 : Consommer juste ce qu’il faut
La première étape est de ne pas consommer plus que ses besoins. Les personnes qui travaillent dans ces bureaux de 6000 m2 ont une consommation d’énergie très faible, grâce à des choix de conception optimums (Isolation par l’extérieur, Dalle épaisse, menuiseries à isolation renforcée, ventilation double flux,…). Mais ce n’est pas tout.
Pour consommer juste ce qu’il faut, chaque occupant peut (et doit !) connaitre le détail de ses propres consommations : à chaque étage, les consommations sont mesurées et enregistrées dans le détail (Eclairage, Chauffage, Refroidissement, Etc…)
2 : Produire sa propre énergie
La particularité d’une activité tertiaire est qu’elle est principalement diurne. Et de jour, le soleil permet de produire de l’électricité ! Ces bâtiments ont donc été équipés de panneaux solaires photovoltaïques sur toutes les toitures et ainsi qu’en ombrières de parking (au total 230 kWc autoconsommés)
3 : Stocker
Parfois, le bâtiment produit même plus d’énergie qu’il n’en consomme. Pour éviter de perdre cette énergie disponible, une batterie de stockage a été installée (50 kW – 50 kWh) et est chargée lorsque le soleil est abondant. Cela permet de la décharger lors de pics de consommation des bâtiments. C’est aussi une manière de limiter l’appel d’énergie extérieure. Si tous les nouveaux bâtiments le font, le réseau électrique public serait moins sollicité. Appréciable quand on connait la situation électrique de la Côte d’Azur : une péninsule électrique qui risque régulièrement, le black-out !
Travailler aux Aqueducs, c’est vivre dans un Espace qui respecte l’environnement
